Nom ₪ Jones
Prénom(s) ₪ Jedediah. L'aimé de Dieu. L'ironie ne lui échappe pas.
Âge ₪ 45 ans
Lieu de naissance ₪ L'Angleterre qu'il fuit faute d'avoir réussi à la rendre fière de lui.
Groupe ₪ Habitants de Tapioca
Rang ₪ Explorateur à la dérive, pirate en perdition.
Localisation ₪ Reclus à Tapioca où il se fait oublier, on le trouvera dans le coin sombre d'une taverne, épiant et écoutant à l'insu de tous.
Avatar ₪ Toby Stephens
Image ₪ Funya

Las. Il n’a pas encore un seul cheveu argent sur le crâne, et pourtant, son âme est millénaire. Il est fatigué, Jones. On confond aisément avec la fureur de vivre ce qui ne sont que des élans autodestructeurs, le tirant toujours un peu plus vers la tombe. Une forme de suicide passif dont il est parfaitement conscient. Secret. Ils sont peu à savoir naviguer les eaux noires qui ensevelissent son âme. Semblable aux océans tumultueux qu’il avait pour habitude de naviguer, il n’est jamais rien moins qu’impressionnant. Mais derrière un calme d’apparence c’est la tempête qui menace, et sous la surface, des abîmes sans fin dont les secrets engloutis ne verront plus jamais la lumière du jour. Seuls ceux qui ne tiennent pas à la vie tenteront de les remonter, les plus sages sauront tourner leur curiosité ailleurs. Fier. Perdu le navire, perdu l’équipage, perdu l’or. Jones ne possède plus rien mais il a l’attitude de ceux qui ont le monde à leur pied. Sa démarche est impérieuse, son attitude hautaine, son ton ne souffre pas la réplique. Il ordonne plutôt qu’il ne demande, et souffre mal de voir sa dignité bafouée d’une quelconque façon. Vengeur. Corollaire à cela, il a la rancune tenace. Il n’oublie pas, jamais. Bonnes comme mauvaises actions, mais surtout mauvaises. Mieux vaut s’en faire un ami qu’un ennemi, même si cette dernière entreprise est bien plus aisée que son alternative. Impulsif. Il a le sang chaud, bien loin du flegme et de la froide contenance des anglais, et réagit mal à la provocation. Ses accès de colère sont d’autant plus impressionnants qu’il ne fait rien pour les contenir. Il ne vit que par les mots de Caligula : oderint, dum metuant. Qu’ils me haïssent, pourvu qu’ils me craignent. Cultivé. Sa mère patrie est loin, mais son éducation lui colle à la peau, le rend paria au milieu des parias. Dans son temps libre c’est vers la littérature des plus grands qu’il se tourne, se nourrissant aussi bien de fiction que d’essais philosophiques. Malgré tout, sa passion va à l’astronomie et il rêve du jour où l’homme conquerra l’océan céleste. Idéaliste. Il n’y paraît pas au premier regard, mais Jones a l’âme d’un romantique au sens originel du terme. Bercé par les récits les plus romanesques depuis son enfance, il aspire à plus que le commun, le banal, et cherche sans cesse à s’élever et dépasser sa condition. Ambitieux. Pas de but qu’il ne puisse atteindre. Peu importe sur le cadavre de qui il doit marcher pour atteindre son objectif. Ses bottes s’abreuvent du rouge qu’il fait couler, écrasant sans vergogne les doutes et regrets qui pourraient l’assaillir. Quelque part en chemin, il a abandonné son humanité, et s’en trouve plus léger. Mais plus meurtri aussi. Dément. Il se murmure beaucoup de choses à son sujet, des rumeurs qu’il ne prend jamais la peine de confirmer ou démentir. La plupart le disent fou, de cette folie qui menace tout homme trop longtemps abandonné à ses démons. Une folie froide, lucide, mais une folie néanmoins. Solitaire. Même au milieu de la foule, il est drapé d’un voile de solitude qui le sépare irrémédiablement des autres, le rend inaccessible, distant. Le plus souvent par choix, mais parfois même contre sa volonté, il peine à créer et plus encore à entretenir toute forme de relation sociale. Ingénieux. Manipulateur de talent, sa première arme sont les mots qu’il sait moduler à volonté pour appâter toute oreille attentive et la soumettre à sa cause. Charismatique, il a l’âme d’un leader en dépit – ou peut-être à cause de -  son caractère asocial. Encore faut-il qu’il se donne la peine de polir ses propos, ce qu’il ne fait pas toujours. Dangereux. C’est un prédateur de la pire espèce. Il a derrière lui l’expérience, mais surtout il n’est entravé ni par sa conscience, ni par la peur. Il faudrait pour cela avoir quelque chose à perdre, et le peu d’égards qu’il a pour sa propre vie le rend capable de tout. Féroce et farouche au combat comme dans tout le reste, il est difficile de lui retirer une idée lorsqu’elle s’est frayée un chemin dans sa tête. Ravagé. Il traîne ses démons comme une chaîne à son pied, et le poids du passé pèse sur ses épaules, l’épuisant un peu plus à chaque pas qu’il se force à faire sans courber l’échine. Une tâche d’autant plus difficile qu’il souffre de ce que l’époque n’a pas encore nommé arthrose, affection pernicieuse qui l’use et le ronge mais contre laquelle il refuse de se soumettre au risque de paraître faible.

₪ Tapioca subsiste dans l'anarchie totale depuis des années. Fais-tu partie de ceux à qui cette absence de règles convient parfaitement ou souhaiterais-tu voir une forme d'ordre s'y établir ?
D’une façon comme d’une autre, Jones ne se soucie guère de l’avenir de Tapioca. Ce n’est pour lui qu’un point de passage, une étape dans son parcours. Certainement pas une destination. Cette ville est pourrie jusqu’à la moelle, et il ne possède guère plus de respect pour les truands qui la font vivre que les dirigeants qui espèrent y faire régner l’ordre. Lui-même n’est qu’une ombre dans le paysage, se mêlant peu aux affaires de la ville. Il ne rêve que d’en partir.

  ₪ Les pirates ont choisi cette île pour capitale sans vraiment laisser le choix à ses habitants. Que penses-tu de ces forbans ? Selon toi, faudrait-il s'en débarrasser ou bien penses-tu que leur présence contribue à protéger l'île des colonisateurs ?
Il connaît suffisamment les pirates pour savoir que ceux-ci ne servent que leur propre intérêt. Si leur présence profite à la populace, ce n’est jamais qu’incidentel, et si elle y est préjudiciable, cela leur est bien égal. Ils ne reconnaissent que leurs propres lois, leur propre code, et même au sein de celui-ci l’honneur est un bien vague concept. Mais là encore il n’a pas vraiment de position sur la question ; difficile de se soucier du monde extérieur lorsqu’on peine à se soucier de sa propre personne.

  ₪ La quête de la boussole de Seadog comporte plusieurs étapes, le chemin est long et semé d'embûches. Souhaites-tu mettre la main sur l'objet magique ? Que comptes-tu en faire si l'obtiens ?
Il en a rêvé, comme tout autre. Il ne croit pas strictement à son existence, mais il n’y est pas fermé non plus. Autrefois, c’était une fantaisie plaisante, rien de plus qu’un doux espoir, un « et si » non formulé, plus alimenté par sa soif d’aventure que par son ambition. Aujourd’hui, même si la boussole n’est pas sa priorité, il ne peut nier son attrait pour ce potentiel de vengeance, ce moyen de renverser l’ordre établi et de s’assurer que plus jamais personne ne prendra le risque de le défier sans en payer les conséquences.

Pseudo ₪ Funya
Âge ₪ 27 ans
Comment vous avez connu Raging Oceans ₪ via PRD
Votre avis sur le forum ₪ il est beauuu, il est original, puis ce codage pfiou (le petit gouvernail qui tourne sous le profil me fait ma journée ok)
Conseil(s), suggestion(s) ₪ j'avoue que je trouve le texte pas très très lisible sur le fond du forum (sur les messages sans codage j'entends), peut-être que qu'elle pourrait ressortir un peu plus ?  
Présence ₪ 7j/7
Dernier mot de défi ₪ Je risque d'être un peu longuette sur la fiche mais j'vais tâcher de pas trop traîner promis !

L’océan à perte de vue. Un soleil voilé dessine à la surface des stries d’argent qui brillent de mille feux. Le vent gonfle les voiles immaculées du HMS Rochester qui fend les vagues à un rythme paisible. Jones inspire profondément l’air marin, une odeur de sel et de liberté si enivrante qu’il est aisé d’oublier tout le reste. Trop aisé. Il a une mission, cependant. Dépêché par l’amirauté britannique dans le but de découvrir le passage nord ouest dont l’existence reste encore à prouver, il a bien l’intention de réussir là où ses prédécesseurs ont échoué. Les quelques milliers de livres proposés en récompense sont alléchants, pour sûr, mais ce n’est pas là sa principale motivation. Le navigateur n’en est pas à ses débuts. Il a fait ses preuves dans la marine. Il a mené plusieurs expéditions au large des côtes du Pacifique, et contribué à améliorer la cartographie et l’emplacement de nombreuses îles perdues au milieu de l’étendue bleutée. C’est moins la volonté de marquer les pages de l’Histoire en tant qu’explorateur que simplement l’attrait du défi qui le motive. Ceux qui ont navigué sous ses commandes savent que l’homme ne craint pas de prendre des risques en s’aventurant dans des zones dangereuses. Encore vierge de toute défaite, trop peu esquinté par les conditions pourtant souvent difficiles que comporte son mode de vie, il a encore l’arrogance et l’audace de la jeunesse qui pense pouvoir tout conquérir. Mais l’hubrys a un prix et Poséidon ne fait pas de faveurs.

Ils ont quitté la Colombie britannique depuis à peine deux semaines et remontent vers le nord quand la tempête s’abat sur eux. Elle aurait pu être évitée, pourtant. Contre tout bon sens, contre les protestations de son équipage, l’impatience de Jones les mène à leur perte. Il refuse de se soumettre aux éléments, et de délayer sa future victoire en sacrifiant un temps et des vivres précieux. La trajectoire ne sera pas modifiée ; le Rochester maintient son cap. Mais la tempête est sans pitié, et le grand mât est le premier à céder sous le courroux des dieux. Les voiles se déchirent, le bois craque et rugit sous la force des éléments. L’eau qui cherche à les engloutir n’a rien de cristalline. Elle est sombre, abyssale, sans fond, et elle clame impitoyablement son dû. Il ne reste plus trace du navire lorsque l’accalmie revient enfin.

Contre toute attente, Jones survit et avec lui, une triste poignée de membres de son équipage. Echoués sur une île du Pacifique aussi déserte que sauvage. Les ressources se font très vite rares et la survie est difficile dans un environnement hostile où tout semble vouloir les tuer. Le premier homme à mourir est emporté par la maladie. Son corps est livré à la mer comme un nouveau sacrifice. Les jours s’égrènent péniblement et la famine menace. Les nuits sont aussi froides que les journées sont chaudes. Les rescapés voient leur dernière heure venir, et pourtant l’esprit lutte, le corps s’accroche. L’instinct de survie est plus fort. Jones voit ses camarades tomber avec un mélange de culpabilité et de soulagement.

« Ça devrait être toi », lui crache-t-on, et il le sait. Il sait que ça devrait être lui, mais la faucheuse ne semble pas intéressée par son âme et il ne sait si c'est là une bénédiction ou une punition.

Ils ne sont bientôt plus que deux encore debout. Le matelot est encore jeune, la vingtaine à peine entamée, le corps encore résistant et vigoureux. Il lutte pendant trois pleines minutes lorsque Jones profite de son sommeil pour l’étrangler. Trois longues, pénibles minutes à se débattre, à griffer, à paniquer. A suffoquer. Lorsque la vie quitte enfin le regard du jeune homme, il sait qu’il a atteint un point de non retour.

La viande, une fois séchée, lui permet de subsister pendant plus d’un mois. Elle aurait pu – et dû - suffire plus longtemps si un prédateur ne l’avait pas dérobé. Il parvient à mettre au point des pièges pour attraper de petits rongeurs mais très rapidement cela ne suffit plus. Le corps puise peu à peu ses dernières réserves, altère son métabolisme pour conserver l'énergie qui lui reste. L’effort paraît vain. S’il avait les outils pour le faire sans risquer de bêtement mourir d’une infection, il aurait probablement tenté de s’amputer une jambe. Mais en dépit de tout ce que le destin lui inflige, il ne semble pas vouloir sa mort. Pas encore.

C’est sous la forme d’un navire marchand à destination de Manille que son salut se présente. Les cales sont chargées d’argent espagnol, fraîchement extrait de mines mexicaines, et chaque homme à bord est infiniment conscient des risques qu’ils encourent avec un tel pactole à bord. Ce n’est une surprise pour personne lorsque le navire est attaqué avant d’atteindre destination. Heureusement pour lui, s’il y a une chose que Jones sait faire, c’est retourner sa veste. Les marins défendent leur marchandise, mais ce ne sont pas des soldats, et ils ne font pas le poids face à des pirates. Il suffit cependant d’une opportunité qu’il ne manque bien évidemment pas de saisir pour sauver le capitaine ennemi d’une attaque traître et ainsi gagner l’intérêt, et surtout la reconnaissance, de ce dernier.

C’est suffisant pour lui assurer la vie sauve, mais pas pour lui faire gagner un quelconque traitement de faveur au-delà de ça. Il est fait prisonnier de l’Icarus, où il est traité comme un esclave, nul doute pour être vendu comme tel ou, si on lui soupçonne la moindre importance, négocié contre une rançon auprès de la marine britannique. Il se garde de dire qu’ils ne dépenseront pas la moindre livre pour lui, que personne ne l’attend là-bas. Il se contente d’exécuter les tâches qu’on lui attribue sans rechigner, et s’attire peu à peu la curiosité de l’équipage en racontant ses périples, qui finissent par atteindre l’oreille du capitaine Rife. S’il n’en croit pas la moitié, il se fascine pour ses talents d’orateur et petit à petit, de récit en récit, Jones parvient à suffisamment monter dans son estime pour qu’on le débarrasse des fers. Il ne s’arrête pas en si bon chemin, cependant. Il n’a plus rien à perdre après tout, et contre toute attente, il se lie d’une amitié sincère avec le capitaine. L’homme est aussi sanguinaire sur les mers que débonnaire dans sa vie privée, une facette qu’ils sont bien peu à voir et à connaître. Partout ailleurs, il est redouté, y compris et principalement de son équipage face auquel il est bien souvent implacable malgré sa volonté d’agir dans l'intérêt de tous.

Les semaines passent, et Jones se fait une place à bord. Lorsqu’ils arrivent à bon port, en dépit de la chance qui lui est offerte de partir, il reste parmi les membres de l’équipage et ne revient jamais sur cette décision. Rapidement et à la surprise de personne, il devient le second du capitaine. Son nom devient aussi craint que celui de Rife. Le pouvoir est enivrant, la liberté grisante. La vie de pirate ne lui soumet aucune limite, et il l’embrasse avec férocité. Malheureusement, ni lui ni le capitaine ne voient venir la mutinerie qui gronde et se profile. Lorsqu’elle frappe, ni l’un ni l’autre ne sont prêts à l’affronter. La révolte est violente. Il reste aux côtés de son ami jusqu’au bout, mais ne parviendra pas à empêcher l’inéluctable : le capitaine est exécuté et déjà un autre prend sa place. Jones ne parvient à s’échapper qu’in extremis en se jetant à l’eau.

Tapioca. Une ville infestée de malfrats et de forbans. Il l’exècre. Il l’exècre principalement parce qu’il est sur la terre ferme au lieu d’être en mer, il l’exècre parce qu’il n’a plus d’équipage, plus de navire, plus rien. Déjà on oublie son nom, un de plus englouti par les océans impitoyables. Il se fait ombre parmi les ombres, guettant son heure. On dit que Tapioca est la ville idéale pour tout homme qui souhaite réunir un équipage. Encore lui faut-il un navire. Mais ce n’est qu’une question de temps. Dans les tavernes, tapi dans l’obscurité, il observe et écoute, attend que l’opportunité se présente. La vengeance est une flamme qui, au lieu de le consumer, lui donne la force d’avancer. Carson. Le nom est ancré dans sa mémoire. Le traître qui a mené la rébellion et se pâme désormais fièrement sur la coque de l’Icarus en se proclamant capitaine. Jones n’attend que de le voir périr de sa main, lui et tous ceux qui l’ont suivi. L’Icarus sera sien, ou ne sera pas.

Avant de te lancer dans la rédaction de ta fiche, il est impératif que tu ailles consulter le Guide du Marin d'eau Douce ! Comment y accéder ? Clique donc sur l'image suivante :
   
   Tout d'abord, laisse moi te remercier de ton inscription au nom de tout le Staff de Raging Oceans ! Nous avons tous vraiment hâte de pouvoir t'accueillir en tant que membre validé dans notre bel équipage ! Mais avant, souviens-toi que tu disposes de dix jours pour compléter ta fiche, à moins que tu aies besoin d'un délai supplémentaire... Auquel cas, n'oublie pas d'en faire la demande auprès d'un membre de l'équipe administrative (par MP ou à la suite de ce message). Ça y est, tu es prêt à larguer les amarres ? Génial ! Il ne me reste donc plus qu'à te souhaiter bon courage pour remplir ta fiche, dans ce cas !

   OMG TOBY STEPHENS       (voilà, il fallait que ça sorte   )
Bienvenue parmi nous ! Quel choix d'acteur   (Ok, je passe à autre chose !) Avant de te souhaiter bon courage pour ta fiche, je vais devoir te demander de changer de prénom...    En effet, on a déjà un PV qui s'appelle Flynn et on voudrait éviter de s'emmêler les pinceaux avec des doublons dans les noms. J'espère que tu comprends et que ça ne te dérange pas trop   Sinon, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire de ce personnage, et n'hésite pas à contacter le Staff en cas de besoin !  
    À L'ABORDAGE, MATELOT !

Ça y est, vieux loup de mer, tu as réussi à te retrouver à bord du navire ! Alors, qu'est-ce que ça fait ? Tu n'as pas le mal de mer, au moins ? Ce serait vraiment dommage ! Bon, trêve de plaisanterie, c'est maintenant que les choses sérieuses commencent pour toi, matelot ! Tu es validé, ce qui signifie que tu peux désormais aller poster dans les autres parties du forum : la cabine où tu établis tes liens & tes RPs, la soute où tu peux flooder et jouer tout ton soûl mais surtout la partie RP ! Bah oui, c'est quand même pour ça que t'es là à la base, non ? Va donc consulter la seconde partie du guide du marin d'eau douce si tu veux être sûr de ne passer à côté de rien d'important ! En tout cas, encore un gros merci de la part du Staff pour tenter l'aventure parmi nous... Le forum t'ouvre ses bras, c'est maintenant à toi de jouer !
      QUE L'ESPRIT DES EAUX T'ACCOMPAGNE !