Nom ₪ Campbell, rappelant un vieux clan écossais dont il n’est qu’un lointain cousin. Point de sang noble dans ses veines, même si l’âge et l’expérience l’ont transformé en une sorte de gentilhomme de la piraterie.
Prénom(s) ₪ Henry, tout comme son père avant lui.
Âge ₪ 47 ans, la fleur de l’âge, et ne montrant aucun signe avant-coureur d’une nécessaire retraite, merci bien.
Lieu de naissance ₪ Edimbourg l’inoubliable, qu’il a quittée à l’âge de vingt ans pour aller écumer les mers.
Groupe ₪ Ecumeur des mers.
Rang ₪ Maître Artisan sur le Burning Bright, l’homme providentiel quand tout fout le camp en pleine bataille ou en pleine tempête.
Localisation ₪ Sur le Burning Bright, ou en train de prendre du bon temps à Tapioca.
Avatar ₪ Hugo Speer.
Image ₪ Tumblr

Henry est un vieux loup de mer, et il en a tous les attributs. Sous a bonhomie naturelle se cache un ancien filou sacrément retors, aussi imprudent qu'insolent, qui a heureusement eu le bon goût de s'assagir avec les années. Du haut de son presque demi-siècle, c'est un homme de bonne nature, dont l'abord avenant et sympathique surprend et peut faire tâche dans un équipage pirate. Mais les hommes qui le fréquentent savent que sous ses dehors souriants et affables, se cache un forban dans toute sa splendeur, fort de plus de trente ans d'expérience : brave au combat et impitoyable avec ses ennemis, il est du genre à les achever en leur tranchant la gorge tout en se fendant d'un sourire. Lorsqu'il aboie ses ordres en pleine tempête, ses hommes ne sauraient lui désobéir, sachant très bien qu'il ne souffre pas l'insubordination ou qu'on remette en cause ses idées lorsqu'il s'estime expert en la matière. Malin comme un singe, vif d'esprit, il s'assure toujours d'avoir un coup d'avance sur ses adversaires et méprise les hommes qui agissent avant de réfléchir. Ne vous fiez pas complètement à son apparente gentillesse : poignarder ses ennemis dans le dos est sa tactique préférée et il est très imaginatif lorsqu'il s'agit de tendre des pièges aux autres, quitte à se faire passer pour leurs amis en attendant son heure. Doté d'une certaine sagesse qui lui est venue avec l'expérience, il ne donne pas dans la vantardise mais s'enorgueillit beaucoup des capacités qu'il sait maîtriser. Il a toujours eu un sérieux problème avec l'autorité et a une fâcheuse tendance à l'égocentrisme, décidant qu'il vaut mieux profiter de la vie tant qu'elle dure, et qu'à chacun ses problèmes. L'avoir dans son camp est toujours un pari un peu risqué, puisqu'il est difficile de savoir ce qu'il a réellement derrière la tête, mais c'est aussi un atout précieux qui sait se rendre indispensable quand le besoin s'en fait sentir.

Histoire de bien situer votre personnage par rapport au forum, répondez en cinq lignes minimum aux questions suivantes.
₪ La Compagnie des Indes Orientales a pour mission principale d'éradiquer les pirates. Es-tu le genre de forban qui préfère l'affronter ou celui qui fuit pour sauver sa peau ?
Beaucoup de pirates nourrissent une haine féroce envers la Compagnie des Indes Orientales, et pour cause. Mais Henry n'est pas de ce bord-là et voit plutôt la Compagnie comme un inconvénient avec lequel il faut bien vivre : après tout, que de braves hommes essayent de mettre un terme aux crimes des filous qu'ils sont, c'est de bonne guerre ! D'une certaine façon, Henry voit ça comme une façon d'équilibrer les forces du monde : une société uniquement composée de pirates ne serait pas plus saine qu'un monde sans forbans pour rappeler qu'une liberté est possible, même si dangereuse. Tant qu'à faire, Henry préfère les éviter, mais si les circonstances le demandent, il n'hésite pas à tirer son épée pour une bonne bagarre !

₪ Une rumeur court selon laquelle le Reaper vogue de nouveau, le fantôme de Seadog hante les océans à la recherche de sa boussole... Que penses-tu de cette nouvelle ? Crois-tu à la légende de la boussole ?
De nature réfléchie avec un penchant sceptique envers les superstitions, des années en mer ont pourtant forcé le vieux marin à revoir certaines de ses présomptions et accepter certaines vérités qu'en un autre temps il aurait qualifiées de douteuses. Aujourd'hui, il fait partie de ces vieux loups de mer qui connaissent les légendes des mers sur le bout des doigts et avertissent les jeunes matelots dubitatifs du destin qui les attend s'ils font l'erreur d'en prendre certaines à la légère. Le Reaper, c'est comme l'Antre de Davy Jones : mieux vaut se réjouir de n'avoir jamais croisé sa route plutôt que de rire en pensant à sa possible existence. Quant à la boussole de Seadog et son fantôme, Henry sait bien que son capitaine est à sa poursuite, et ma foi, il n'a pas grand chose à redire à ce projet de sacrée grande envergure. L'ambition n'a jamais fait de mal à personne, et si le capitaine Spades avait envie de dominer les mers, ma foi - Henry préférait être à ses côtés que contre lui !

₪ La quête de la boussole de Seadog comporte plusieurs étapes, le chemin est long et semé d'embûches. Souhaites-tu mettre la main sur l'objet magique ? Que comptes-tu en faire si l'obtiens ?
En tant que pirate, Henry a plutôt été habitué à piller des navires et des ports : se lancer en quête d'une boussole magique, c'est quelque chose de nouveau. Mais finalement, la nouveauté avait quelque chose d'attrayant, et à son âge, il n'avait plus grand chose à perdre en se lançant dans cette nouvelle aventure qui promet de bien belles péripéties. Impossible de savoir ce que la boussole renferme comme secrets encore, mais si l'opportunité se présente, Henry sera ravi d'être aux premières loges pour prendre pleine mesure de son pouvoir, ou de sa valeur marchande. Et si cela devait être la dernière expédition de sa vie, et bien ma foi, au moins quitterait-il ce monde auréolé de la gloire des grands explorateurs !

Pseudo ₪ Lay’s.
Âge ₪ 22 ans.
Comment vous avez connu Raging Oceans ₪ Via votre pub sur PRD !
Votre avis sur le forum ₪ Qu’est-ce que je suis contente de tomber sur un forum de piraterie ! Le dernier en date avait coulé alors que j’étais dessus, ça m’avait beaucoup attristée, j’espère que celui-ci tiendra le coup ! Il est très prometteur en tout cas.
Conseil(s), suggestion(s) ₪ Pour l’instant rien du tout.
Présence ₪ 5/7 minimum.
Dernier mot de défi ₪ A l'abordaaaaage  

Henry Campbell est un écossais véritable, et même s’il n’a pas vu les côtes de son pays d’origine depuis près de trente ans, il garde un souvenir impérissable des rues sales d’Edimbourg et de sa propre maison dans Mary King’s Close. Fils unique d’un marin marchand et d’une blanchisseuse, Henry est bien loin d’avoir grandi dans le luxe. Jeune garçon débrouillard et dégourdi, il commença à travailler au port à l’âge de onze ans à peine, avant d’accompagner son père en tant que mousse lors de ses expéditions en Irlande ou en Angleterre. Sa gouaille et ses capacités d’apprentissage attirèrent l’attention du Maître Gabier de l’équipage, en manque d’apprentis, qui le prit aussitôt sous son aile en profitant de son agilité d’adolescent pour le faire grimper au plus haut du mât de misaine en pleine tempête. Un baptême de l’eau et du vent dont Henry sortit victorieux et lui valut sa place d’apprenti à un âge précoce. Le jeune homme avait indubitablement le pied marin, plus encore que son père : ni tempête ni pirates ne semblaient l’effrayer, et le roulis du bateau ne perturbait jamais son équilibre même lorsqu’il allait faire le singe dans les cordages pour rabibocher une voile déchirée. Les autres marins riaient en disant que ce gosse devait être le fils caché de Davy Jones lui-même, et Henry trouvait une certaine fierté dans ces déclarations qui en auraient fait grimacer d’autres.

A terre, le jeune garçon devenu jeune homme puisait toute son assurance dans ces expéditions qui forgeaient son caractère, impulsif et insouciant. N’hésitant pas à utiliser ses aventures en mer (sans oublier de broder un peu) pour conquérir le cœur de ces dames ou se faire payer des tournées à la taverne, le jeune Henry avait déjà tout du marin plein de fougue et assoiffé d’aventure. Néanmoins, son attitude de jeune insolent finit par lui attirer des ennuis, et après avoir provoqué un capitaine d’équipage, il devint du jour au lendemain l’homme le plus recherché d’Edimbourg. Afin d’éviter le désagrément de se retrouver avec un poignard entre les reins, Henry, du haut de ses vingt ans, prit la décision qui lui semblait la plus sage : il s’embarqua comme gabier sur un navire marchand qui partait le lendemain pour la chaleur torride des Caraïbes. Non seulement il échappa à une mort certaine, mais en plus, il partait enfin explorer les mers. Parce que l’Irlande et l’Angleterre, c’est bien sympathique, mais un peu trop froid et monotone pour son jeune esprit nourri aux récits d’hommes comme Barbe Noire ou John Rackham.

Après plusieurs mois en mer, une mauvaise tempête essuyée au large des Indes força le navire à accoster dans le pire endroit possible pour un navire marchand : Tapioca, repaire bien connu de pirates et de corsaires sans merci. Le capitaine eut bien du mal à garder le contenu de sa cargaison, mais surtout son gabier lui échappa complètement : Henry tomba aussitôt amoureux de l’atmosphère vivante, poisseuse et mystique de la ville, et décida presque aussitôt d’embrasser lui aussi la vie de flibuste. Il déserta son équipage et, avec ses économies, s’installa dans une auberge près du port en attendant de trouver un nouveau navire sur lequel embarquer. Par chance, son expertise avec les voiles lui ouvrit de nouvelles portes, et il fut rapidement enrôlé sur l’Endeavour, un navire pirate qui sillonnait les mers des Indes en s’en prenant particulièrement aux navires de la marine marchande anglaise. Spécialiste des voiles, il comprit rapidement qu’il devrait apprendre les mécanismes de la coque et de la charpenterie s’il voulait conserver sa position, et il s’improvisa artisan aux côtés d’un Maître qui prit à cœur de lui transmettre son précieux savoir-faire pour le jour où lui-même se retirerait des affaires.

Peu à peu, Henry apprit les ficelles du métier, mais aussi le maniement des armes, se révélant être un fin bretteur – plus par obligation que par choix, après tout il ne tenait pas à perdre sottement la vie juste parce qu’il ne savait pas tenir une rapière correctement – et prit goût à cette vie de dangers. Alternant entre batailles en mer, prises de chargements, et escales dans les ports les plus colorés et débauchés des Indes et des Caraïbes, où le navire se rendait d’une année à l’autre, il profita indubitablement de sa jeunesse et de tout ce qu’elle avait à lui offrir. Bien sûr, tout cela n’était pas sans danger, et Henry passa plus d’une fois près d’une mort certaine. Aujourd’hui encore, il repense aux risques inconsidérés qu’il a pu prendre lorsque ses yeux tombent sur de vieilles cicatrices jamais disparus sur son corps, qu’il s’agisse de combat mal gérés, de captures ayant mal tourné, ou même de chute depuis ses chères voiles. Partageant sa vie entre Tapioca et Nassau, au gré des accords de piraterie conclus par son capitaine, il accéda à trente-cinq ans au grade de Maître Artisan sur l’Endeavour qu’il servait fidèlement depuis plus de dix ans. Deux ans plus tard, la fortune finit par tourner : l’Endeavour tomba aux mains de la marine anglaise non loin des côtes indiennes, et son équipage fut pour la moitié exécutée, pour l’autre moitié envoyée aux galères. Henry fut assez chanceux pour tomber dans la seconde moitié, et passa trois ans à subir les coups de fouet du quartier-maître, jusqu’à ce que les prisonniers ne soient envoyés à la prison d’une ville toute nouvelle : Sophistown. Deux ans encore passés enfermé, deux ans pendant lesquels Henry se prit presque à espérer la potence pour sortir de cet enfer. Son vœu failli se réaliser, mais parmi ses compagnons de corde se trouvait un capitaine ayant suffisamment gagné le respect de ses hommes pour que ceux-ci tentent un plan de sauvetage. Henry ignore si le capitaine en question s’en est sorti, mais lui n’a pas hésité une seconde à profiter de la fusillade pour se faire la malle.

A quarante-deux ans et après cinq ans entre les mains des anglais, Henry n’avait qu’une envie : reprendre la mer et sa liberté chérie. C’est à bord du Burning Bright qu’il trouva un nouveau poste comme Maître Artisan, fort de son expérience sur les mers et de son savoir-faire dans une foule de domaines lui permettant de prendre soin d’un navire sous toutes ses coutures. Il renoua avec Tapioca, dont il fit à nouveau son pied-à-terre. Et cinq ans après sa libération des geôles de Sophistown, le vieux loup de mer n’a rien perdu de sa superbe ni de sa soif d’aventures…

Avant de te lancer dans la rédaction de ta fiche, il est impératif que tu ailles consulter le Guide du Marin d'eau Douce ! Comment y accéder ? Clique donc sur l'image suivante :

Tout d'abord, laisse moi te remercier de ton inscription au nom de tout le Staff de Raging Oceans ! Nous avons tous vraiment hâte de pouvoir t'accueillir en tant que membre validé dans notre bel équipage ! Mais avant, souviens-toi que tu disposes de dix jours pour compléter ta fiche, à moins que tu aies besoin d'un délai supplémentaire... Auquel cas, n'oublie pas d'en faire la demande auprès d'un membre de l'équipe administrative (par MP ou à la suite de ce message). Ça y est, tu es prêt à larguer les amarres ? Génial ! Il ne me reste donc plus qu'à te souhaiter bon courage pour remplir ta fiche, dans ce cas !

C'est qu'il a du succès le Burning Bright Bienvenue sur le forum et je peux te dire super choix d'acteur, je suis même étonnée de le voir pris, je l'adore dans la série the musketeers ^^ Pour toutes questions n'hésite pas à contacter le staff, nous serons ravi d'y répondre et bon courage pour la confection de ta fiche !
À L'ABORDAGE, MATELOT !

Ça y est, vieux loup de mer, tu as réussi à te retrouver à bord du navire ! Alors, qu'est-ce que ça fait ? Tu n'as pas le mal de mer, au moins ? Ce serait vraiment dommage ! Bon, trêve de plaisanterie, c'est maintenant que les choses sérieuses commencent pour toi, matelot ! Tu es validé, ce qui signifie que tu peux désormais aller poster dans les autres parties du forum : la cabine où tu établis tes liens & tes RPs, la soute où tu peux flooder et jouer tout ton soûl mais surtout la partie RP ! Bah oui, c'est quand même pour ça que t'es là à la base, non ? Va donc consulter la seconde partie du guide du marin d'eau douce si tu veux être sûr de ne passer à côté de rien d'important ! En tout cas, encore un gros merci de la part du Staff pour tenter l'aventure parmi nous... Le forum t'ouvre ses bras, c'est maintenant à toi de jouer !
QUE L'ESPRIT DES EAUX T'ACCOMPAGNE !